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| ⊰ LA VIE QUOTIDIENNE (résumé des annexes) | |
▹ Sur Aléria depuis : 08/11/2015 ▹ Messages : 162 ▹ Pseudo : TFN (lise, coralie, hélène, khaoula) ▹ Disponibilité : Always ▹ Crédits : @bigbadwold
▹ Nation : FIRE WANTS TO BURN WATER WANTS TO FLOW AIR WANTS TO RISE EARTH WANTS TO BIND and Chaos wants to devour
| ⊰ LA VIE QUOTIDIENNE (résumé des annexes) Ven 27 Nov - 22:00 |
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Le monde de Kandrakar Kandrakar pour les nuls Cette annexe regroupe tous les éléments de l'univers qui vont vous permettre de mieux vous plonger dedans. Elle a été séparée en plusieurs parties : ≈ La géographie de Kandrakar≈ Société et culture ≈ Sciences et techniques≈ Economie
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| Re: ⊰ LA VIE QUOTIDIENNE (résumé des annexes) Ven 27 Nov - 22:17 |
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La géographie de Kandrakar Petit aperçu Kandrakar est un monde divisé en quatre parties, historiquement issus de quatre royaumes ( voir carte). ≈Au nord, Elioras sous l’égide des Livanov, ayant pour capitale Aelia ≈Au sud Antrakar domaine des Darsonval, avec Erda ≈A l’ouest Lumisol apanage des Pernington à Hariyuva ≈A l’est Morbalat terres des Bernstein dans leur capitale Ardelis Ces quatre territoires disposent donc chacun d’une capitale, qui est le bastion des familles régentes et où leur pouvoir se matérialise sous forme architecturale : grands palais, voire d'immenses domaines. Une grande guerre les a opposés, et la principale conséquence fut la disparition du moins officielle des fils de l’air et surtout de la famille régente, les Livanov. Au centre de ces domaines se trouvent les terres d’Hamanat, et la capitale de Kandrakar : Aleria. C’est ici que se trouvent le gouvernement composé des trois régents (voir annexe du gouvernement). Les réseaux de transports favorisent en grande partie ces cinq capitales. Dans ce monde, le réseau ferroviaire y est très développé. Cependant, leur prix reste très élevé et elles restent réservées pour les personnes aisées. Il faut aussi garder à l’esprit que la marche est préférée pour des raisons de discrétion, mais aussi pour des raisons de praticité : par exemple, dans les montagnes d’Elioras, il est très difficile d’évoluer autrement qu’à pieds. Le réseau de distribution et d’information passe aussi par cet ensemble d’axes de transports, ainsi plus on vit loin des villes et plus les nouvelles ou le courrier arrivent moins vite. Pour aller plus loin : Aleria et Kandrakar ; le bestiaire et l'herbier du forum
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| Re: ⊰ LA VIE QUOTIDIENNE (résumé des annexes) Ven 27 Nov - 22:58 |
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Société et culture Comment pense-t-on à Kandrakar Un peuple qui ne se mélange pasLa société de Kandrakar est fortement influencée par la division des quatre nations : ces peuples se mélangent très peu, et même à Aleria, la capitale du royaume, les quartiers du feu, de la terre, de l’eau et anciennement de l’air (nation qui a été chassée), ils restent très séparés. Il arrive que deux personnes originaires de deux nations différentes tombent amoureuses mais elles ne peuvent pas se marier, car c’est très mal vu et de toute façon illégal. La religion et les croyancesChaque peuple a sa propre religion, à laquelle les individus croient plus ou moins. Il est important de noter que ce sont les natifs de l’air qui sont les plus croyants. La religion de l’air se concentre essentiellement sur une idée : les natifs de l’air pensent que le vent est constitué des âmes de leurs ancêtres. Il existe aussi une théorie qui veut que certaines âmes se faufilent dans le corps d’un enfant à naître par les narines de la mère. Leur religion ne croient pas en un dieu, mais bien aux esprits et aux âmes. Il existe une institution religieuse, constituée de prêtres et de prêtresses, qui vivent au contact de l’extérieur, mais aussi de beaucoup de moines et de moniales, qui par contre sont isolés et vivent une existence d’ermite. - En savoir plus:
La nation de l’air est celle dont l’aspect religieux ressort le plus. En effet, de nombreux fils et filles de l’air sont moines et vivent dans de grands temples, au sommet des montagnes d’Elioras. Il y a plusieurs sortes de prêtres, de moines et de prêtresses. Les prêtres sont ceux qui sont capables de marier un couple, ils dirigent en général l’institution religieuse d’Elioras. Ce sont ceux qui ont le savoir des lettres, ils passent leurs journées à étudier les manuscrits et à les étudier. Les prêtres ne vivent pas totalement en autarcie, au contraire des moines. Les prêtresses, elles, vivent dans un bâtiment différent des prêtres (alors que les moines vivent tous ensemble). Elles prient beaucoup les vents et les esprits, et son également capables de marier un couple. Comme les prêtres, elles étudient beaucoup et ne vivent pas totalement en autarcie. La nourriture des prêtres et des moins leur vient des habitants, et de leurs dons. Les prêtres et prêtresses peuvent se marier, mais c’est très rare qu’ils le fassent. Les moines, eux, vivent tous ensemble dans les plus hautes montagnes d’Elioras. Il est arrivé plusieurs fois que des membres des grandes familles de l’air soient devenus moines. On se souvient par exemple de la sœur de Karina, qui ne s’est jamais mariée et a été moine toute sa vie. En effet, les moines ne peuvent pas se marier. Ils vivent en autarcie totale et ont longtemps constituée la force armée de la nation de l’air. Les moines, au contraire des prêtres, étudient beaucoup moins les livres. Ils passent beaucoup de temps à s’entrainer à la maitrise de l’air, et à écouter et respirer les vents des hauteurs. Un moine est toujours un maître, la discipline est de fer et certains apprennent même à manier quelques armes blanches. L’esprit est placé au centre de leur méditation. Les croyances des fils et filles de l’air sont que l’air est constitué des âmes de leurs ancêtres. A chaque fois qu’un membre d’une famille décède, les proches sont persuadés que son âme rejoint les vents, et forme l’air qu’ils respirent et recrachent en permanence. Ils pensent que les brises et les tempêtes sont des signes divins. La nation de l’air ne croit pas en un dieu, ils croient aux esprits et aux âmes. Ils ne croient pas spécialement non plus en la réincarnation. Certains y croient, pensant qu’une âme peut se faufiler dans le corps d’un enfant à naître, par la bouche et les narines de la mère. D’autres trouvent cette théorie absurde. La religion de la terre a quant à elle ses propres dieux : Harnish, Ferna et Jiqui, dieux incarnant à eux trois la triade de l’Être absolu. Néanmoins, les natifs de la terre sont beaucoup plus attachés à l’énergie brute et à l’esprit. Ils croient au principe de réincarnation de chaque individu. Il n’y a pas vraiment d’organisation religieuse, parce que cette religion représente plus un art et une façon de vivre. Elle est formée d’un ensemble de principes, respectés de façon individuelle par tous les natifs de la terre, sans qu’une institution réglemente vraiment la vie religieuse. - En savoir plus:
Bien que les croyances de la nation de la terre rejoignent en quelques points celles de la nation de l’air, la religion d’Antrakar possède, elle, ses propres dieux. Ceci étant dit, ceux-là ont moins d’importance, pour les fils de la terre, que l’énergie brute et l’esprit. L’essence même des âmes et leur énergie. Cette religion n’a pas réellement d’organisation, il existe quelques prêtres mais la religion est traditionnellement exercée au jour le jour par les membres de la nation de la terre, qui peuvent se rendre dans des temples très colorés et fleuris pour prier et déposer leurs offrandes aux quelques divinités supérieures et inférieures de la religion. Il existe différents dieux supérieurs, comme Harnish, le dieu de la prospérité. Ou encore Ferna, la source de l’énergie de l’univers. Enfin vient Jiqui, dieu protecteur qui incarne la conservation. Ces trois dieux supérieurs (ce sont les trois seuls dieux supérieurs) incarnent ensemble la triade de l’Etre Absolu, ce qui veut dire que ce sont ces trois dieux qui forment l'Etre Absolu. Ce sont les plus vénérés par les fils et filles de la terre. Cette religion s’apparente plus à une philosophie de vie qu’à une réelle religion dans le sens commun du terme. Les adeptes en font un peu chacun ce qu’ils veulent. La croyance la plus commune, cependant, est celle du self. Les gens de la nation de la terre croient fortement en la réincarnation, en n’importe quel être vivant. Les actions se répercutent sur l’énergie vitale de l’âme et, selon ces actions, l’on peut soit se réincarner en homme soit, par exemple, en fourmi. Malgré la croyance des fils et filles de la terre en plusieurs divinités, cette religion a aussi la particularité de croire en un Etre supérieur, qui est l'être absolu avant qu'il ne soit divisé en trois divinités supérieures. Cet Etre serait omniscient, et le fondement de toute chose. C’est un Etre suprême et infini, qui n’a pas d’âge ni de visage. Il est fait d'essence et d'énergie. Les fils et filles de la terre croient donc au karma. Les bonnes actions améliorent le karma et permettront, plus tard, d’accéder à un meilleur cycle de réincarnation, alors que les mauvaises actions agissent contre le karma. Cependant, les bonnes ou mauvaises actions ne signifient pas forcément ‘aider son prochain’ ou ‘ne pas faire de mal à une mouche’. Pour avoir un bon karma, il s’agit en fait de respecter les rites et les traditions de la religion de la nation de la terre, et suivre avec précision les préceptes des divinités supérieures. La religion de Lumisol est monothéiste, et ne reconnaît qu’un seul dieu : la Lune. Il existe une légende qui veut qu’elle soit descendue sur terre pour apprendre la maîtrise de l’eau aux hommes. Des quatre religions, c’est la plus organisée, avec un ensemble d’églises éparpillées dans tout le royaume de l’eau, dans lesquelles un office religieux est régulièrement exécuté. Il faut préciser que cet office ne peut être effectué que par des femmes, et que les hommes se contentent de devenir frères pour consacrer leur vie à la déesse. - En savoir plus:
Les fils et filles de l’eau, eux, croient en une seule divinité : la Lune. Ils sont persuadé que la Lune est une déesse descendue sur terre pour apprendre à ses enfants à maîtriser l’eau, élément avec lequel la déesse semblait avoir un lien puissant. C’est pour ça que les Pernington sont si importants pour la nation de l’eau : il est murmuré qu’ils sont les descendants de la déesse elle-même. Leur pouvoir est donc de droit divin, pour la nation de l’eau, et seule la déesse est au dessus d’eux. La Lune aurait pris sous son aile Mathys, un jeune voyageur alors âgé de quinze ans seulement. Il fut son prophète, et enseigna la maîtrise de l’eau (qu’il avait lui-même appris d’elle) aux autres fils et filles de sa nation. Aujourd’hui encore, on place Mathys a un rang presque divin, et l’on aime croire qu’il était un des enfants de la lune. Mathys était d’ailleurs le premier Pernington a accéder au pouvoir spirituel de la nation de l’eau. Mais une autre famille, aujourd’hui disparue et dont on a oublié le nom, a vu en ce prophète un danger. Mathys fut exécuté par le patriarche de la famille qui détenait alors le pouvoir politique, mais le peuple le désista bien vite de son trône à Lumisol, pour y placer le fils unique de Mathys : Samuel. La nation de l’eau a établit de nombreuses églises pour prier à la gloire de la Lune. Elles ont toutes la particularité d’avoir une ouverture circulaire dans le toit, juste au dessus de l’autel où la prêtresse fait son office. Seules les femmes peuvent être prêtresse et faire l’office. Les hommes deviennent des frères et se vouent à l’église. Les prêtresses et les frères jurent fidélité à la déesse et ne peuvent donc ni se marier, ni avoir de relations sexuelles. La nation du feu est polythéiste et dispose d’une multitude de dieux, dont les cinq plus important sont Elios le dieu des dieux, Xenaphos Celui-Qui-Vainc, Lumia Celle-Qui-Sait, Adalis Celle-Qui-Nourrit et Jannael Celui-Qui-Charme. Cette religion repose sur un pacte avec les dieux : on leur offre des sacrifices (qui peut aller de la part de pain au bœuf qu’on égorge lors de splendides banquets) et en échange ils protègent les humains. On dit qu’ils peuvent descendre sur terre et prendre l’apparence des hommes pour pouvoir mieux se fondre parmi eux et observer s’ils effectuent bien leurs sacrifices, mais aussi pour s’amuser et prendre du bon temps. - En savoir plus:
La nation du feu est fidèle à plusieurs dieux, dont certains sont plus importants que d’autres et sont réunis dans ce qu’on appelle des panthéons. Chaque région, voire chaque ville et village possède son panthéon, dans lesquels on retrouve plus ou moins les mêmes dieux. Dans tout Morbalat sont essaimés des temples dédiés à tel ou tel dieu, et plus le dieu est populaire, plus il possède de temples. Le panthéon qui prime est celui de la capitale dans lequel on peut retrouver Elios, le dieu des dieux, Xenaphos Celui-qui-Vainc, Lumia Celle-qui-Sait, Adalis Celle-qui-Nourrit, et Jannael Celui-qui-Charme. Ces cinq dieux récoltent une grande majorité des prières des natifs du feu. Elios est le dieu premier, né des flammes originelles qui créèrent le monde tel que le conçoivent les maîtres du feu. Il est souvent représenté comme chevauchant un dragon, les premiers êtres qu’il fabriqua en soufflant dans un brasier. La légende veut qu’Elios aimait tellement ces animaux qu’il se soit immolé pour réussir à prendre leur forme, et qu’il aurait été le premier maître du feu, apprenant cette maîtrise aux hommes. Il a créé les autres dieux,qui sont tous ses enfants, à partir des cendres qu’il manipula de ses mains. Le premier, Xenaphos, est son héritier, celui à qui il a confié son royaume avant de partir dans son exil avec les dragons. C’est Xenaphos, dieu de la guerre, du combat et surtout de la victoire qui est aujourd’hui le plus vénéré, si bien qu’Elios en est oublié, ou alors vu comme un lâche qui a préféré abandonner ses responsabilités. Contrairement à son père, Xenaphos a une conception beaucoup plus agressive du monde et souhaitant assujettir plus d’hommes. Plus arrogant, il n’hésite pas à jouer de son statut d’aîné et d’héritier sur ses frères pour imposer ses décisions. Il est représenté le poing fermé et enflammé. Celle qui le supporte moins, c’est sa sœur Lumia. Déesse de la sagesse, du savoir et des arts, elle entre souvent en conflit avec Xenaphos pour le remettre à sa place. Elle est celle qui guide les hommes vers la lumière de la connaissance, et on dit qu’elle se penche sur certains berceaux pour inspirer les enfants qu’elle en juge dignes. Ces individus deviennent des êtres extrêmement brillants. Lumia est représenté l’index dressé sur lequel brûle la flamme de la connaissance. Adalis quant à elle est la déesse de l’agriculture, de la famille, de la sécurité. Elle est la plus pacifiste des enfants d’Elios, et se concentre essentiellement sur le bien-être des hommes. Adalis est celle qu’il faut prier si l’on attend un enfant, lorsqu’on est malade, ou lorsqu’on souhaite une bonne récolte. Elle est représentée les deux mains en coupe autour d’une flamme qu’elle protège. Le dernier des dieux majeurs, Jannael, est le plus ambigu des enfants d’Elios. Il ne prend pas parti entre ses frères et se contente de les laisser se quereller. Lui, c’est le dieu du jeu, de la ruse, de la beauté… Il protège énormément de monde, les marchands les plus doués qu’il considère comme étant de grands joueurs, mais aussi les prostitués, des danseurs, et tous les exclus en général. Il aime le divertissement, est capable d’une grande générosité envers un homme qui l’amuse comme d’une grande cruauté lorsqu’on l’ennuie. On dit qu’il peut se changer en femme lorsqu’il en a envie, et qu’il descend le plus souvent parmi les hommes pour chercher à s’amuser éternellement. Il est représenté jonglant avec trois flammes, voire plus dans certaines régions. Il existe une multitude de dieux mineurs, mais assez peu vénérés par rapports à ces cinq dieux. Egalitaire ?La société à Kandrakar se veut égalitaire entre les sexes. Dans l’idéal, une femme a autant de chances qu’un homme de parvenir à des fonctions gouvernementales ou militaires. Dans les faits, c’est bien plus compliqué et une grande misogynie persiste dans certains milieux, même si les esprits commencent à s’ouvrir. En effet, depuis une trentaine d’années on observe que des couples, qu’ils soient de nations différentes ou même de même sexe, se cachent de moins en moins, même s’ils ne sont toujours pas légalement reconnus. L’éducation ou le défi de l’unionUn milieu particulièrement équitable entre hommes et femmes, c’est le milieu de l’éducation. Une femme travaillant en tant que professeur à l’académie ou institutrice dans de petites écoles gagne autant qu’un homme. L’éducation est en effet divisée en deux grandes parties : - les petites écoles, éparpillées dans toutes les campagnes des quatre nations, pour tous les enfants de six à dix ans (ce n’est actuellement plus valable pour le peuple de l’air : rappelons qu’ils sont des fugitifs chassés par la Ligue, et qu’ils se cachent, voir annexe ici). Elles sont obligatoires et gratuites depuis les touts débuts de la régence, issues d’un idéal : que tous les enfants aient les mêmes connaissances et apprennent à connaître les trois autres nations. Elle se contente de donner les base en lecture, écriture; calcul mais aussi en histoire et géographie. - l’académie, qui accueille tous les jeunes gens de onze à dix-neuf ans. Elle a connu un grave épisode de fermeture, après les bombardements (voir la chronologie) mais hormis pendant cette période, tous les enfants devaient s’y rendre pour apprendre à maîtriser leur élément. Il n’y a plus de place pour l’air, nation reniée, qui eux apprennent donc leur maîtrise avec un membre de leur famille généralement. Cette méthode d’enseignement, ancestrale, fut largement reprise lors de la fermeture de l’académie. L’académie est une immense structure dont les capacités d’accueil sont phénoménales : les constructeurs ont vu en grand pour que chaque enfant puisse des quatre coin du royaume puisse venir. Il se peut que dans certains hameaux reculés, les enfants n’aillent pas à l’école. Ils apprennent les bases de lecture et d’écriture, ainsi que quelques règles de calcul les plus utiles, de leurs parents mais sans plus. Cependant, pour apprendre leur maîtrise, ils sont obligés de se rendre à l'académie, du moins depuis sa réouverture Il est aussi largement répandu que les enfants issus de classes sociales favorisées aient des cours particuliers, mais ils sont cependant obligés une fois qu'ils ont onze ans ans d’aller continuer leurs études à l’académie. Combattre à KandrakarVoir l’annexe sur le pouvoir des quatre éléments, ainsi que l’annexe des armes. Fêtes et traditions à KandrakarEnfin, la vie à Kandrakar est rythmée par tout un ensemble de fêtes suivant les différentes saisons : - Les fêtes du printemps:
Poisson d'Avril : Célébré le 1er avril, le Poisson d'Avril est un jour de pêche national où petits et grands se retrouvent dans des lieux de pêche pour pêcher du poisson. Traditionnellement, ce jour était destiné à la pêche au poisson volant ( exocoetidae), mais ce poisson se trouvant dans les océans est difficilement approchable par tous. Cette tradition vient de Lumisol, elle fut rapportée jusqu'à Aleria par la nation de l'eau. Le Bal de l'Amitié : Ce bal est organisé tous les ans entre Avril et Mai où chacun revêt ses plus beaux habits pour écouter le discours des familles régentes avant qu'elles ne fasse sonner la Cloche de l'Amitié. Cette cérémonie est perpétuée pour maintenir la paix entre les nations depuis la signature du traité.
- Les fêtes de l’été:
Les feux de l'été : Ce petit événement est en réalité fêté à la fin de l'été, la veille de la rentrée scolaire à l'académie Hightowers. Un grand feu d'artifice est alors lancé à Aleria, sur la place publique, pour souhaiter une bonne rentrée et un bon départ pour l'académie aux élèves de Kandrakar. Il n'est pas rare que les capitales des autres régions de Kandrakar fassent de même.
- Les fêtes de l’automne:
La Révélation Automnale : Le 21 ou le 22 septembre (suivant l'année), une fête est organisée dans toutes les capitales de Kandrakar, et plus particulièrement à Aleria, pour célébrer l'arrivée de l'automne et le début des moissons. Cette fête est très importante puisque tous les huit ans, elle est accompagnée de l'ascension d'une lune bleue, visible uniquement cette nuit là.
Halloween : Pour une raison obscure, il est de coutume, ce jour là, de porter un masque pour se cacher et ainsi changer d'identité. Bal Masqué : Le 31 octobre au soir est organisé un grand bal masqué à Aleria. Depuis quelques années, le but des déguisements est de se faire peur, mais les plus puritains restent attachés à leurs costumes traditionnels et aux masques somptueux.
- Les fêtes de l’hiver:
La Grande Lumière : Au coeur de l'hiver, toutes les lumières artificielles (électriques) sont éteintes pour allumer des bougies. Il n'est pas rare de faire des feux de camp en famille le soir venu.
Festival de l'Hiver : Depuis plusieurs années, dans les villes d'Hamanat, un festival de l'hiver, durant douze jours et se terminant par un large bal plus ou moins grandiose suivant les moyens des villes évidemment, est organisé. A Aleria, les familles régentes président le bal de clôture entouré, la plupart du temps, par les familles vassales.
Il existe aussi des rituels quant aux mariages, qui sont rigoureusement respectés et différents selon, encore une fois, le peuple dont on est issu : - Le mariage à Elioras:
le mariage est un acte sacré sensé être prononcé dans un temple dédié, généralement en haut d'une montagne. Traversé de part en part par les vents qui s'engouffrent dans la pièce principale, les deux fiancés se retrouvent par conséquent dans leur élément. Afin de sceller l'union, le prêtre manipule l'air autour de lui tout en accomplissant tout une série de gestes. Accompagnant ses mouvements par un discours traditionnel, les fiancés doivent l'imiter par la suite et ce, chacun son tour. C'est leur façon de s'engager l'un à l'autre.
- Le mariage à Antrakar:
Les mariages sont totalement différents d'ailleurs. L'élément n'y est pas aussi important même s'il reste présent. L'union peut se faire dans n'importe quel lieu, à partir du moment où elle reste sur la terre ferme. Après le discours du prêtre, les deux fiancés s'échangent une poignée de terre sensée provenir de leur foyer actuel. Par ce geste, ils se promettent ainsi de construire leur propre foyer et d'être liées jusqu'à la mort. Si peu de mots sont généralement prononcés par la suite, personne ne s'en formalise étant donné que ce geste est sacré dans la nation de la terre.
- Le mariage à Lumisol:
Chaque mariage se fait près de l'eau, dans un lien consacré par des prêtres depuis des siècles. La cérémonie en elle-même se déroule obligatoirement tous les soirs de pleine lune, là où les maîtres de l'eau sont les plus forts. Une tradition si ancrée dans la nation de l'eau que se marier hors pleine lune est considéré comme une affront, voire comme un sacrilège. Pour s'unir, les deux personnes doivent absolument être liées par leurs mains. Tout en récitant un texte traditionnel, le prêtre entoure les deux fiancés d'un long filet d'eau qui vient entourer leurs deux mains jointes. L'eau est sensée ici représenter leur engagement et leur amour. Lorsque le prêtre a terminé, il demande à chaque partie de réitérer son engagement avec ses propres mots. Si les deux fiancés s'engagent de nouveau, l'union est scellée et l'eau qui entourait encore leurs mains se transforme en glace. Une façon de montrer que l'union est désormais effective.
- Le mariage à Morbalat:
tout mariage qui se respecte a lieu en pleine journée, de préférence lorsque le soleil atteint son zénith. Vêtus de rouge, les fiancés doivent se soumettre au discours du prêtre qui officie avant de s'unir définitivement. Selon les familles, les traditions divergent quant à la suite du mariage. Ainsi, les deux fiancés sont sensés allumer un feu ensemble afin de s'engager l'un envers l'autre. Dans des cas plus extrêmes, les fiancés doivent se marquer à l'aide de leur feu. Une tradition normalement bannie depuis des décennies même si elle semble revenir en force ces derniers temps.
- Le mariage chez les familles régentes:
Les unions entre un descendant d'une famille régente, ou parfois même deux dans certains cas, et une autre personne ne diffèrent pas des mariages traditionnels. Selon leur élément et leur nation, le couple doit généralement suivre les rites ancestraux. En revanche, l'ampleur du mariage est nettement plus amplifiée que pour d'autres. Ainsi, les préparatifs du mariage sont pris en charge des mois avant l'union. Toute la nation entière est prévenue en même temps et celle-ci se doit de la célébrer. Des fêtes sont alors données régulièrement en l'honneur des fiancés. La fête des fiançailles est néanmoins l'un des événements majeurs du processus et a lieu au moins une semaine avant la date fatidique. C'est l'occasion de renforcer certains liens et de créer de nouvelles alliances. C'est aussi la première fois que les deux futurs époux se retrouvent côte à côté à la table d'honneur. Dès lors, ils ont l'obligation de vivre sous le même toit même s'ils doivent faire chambre à part jusqu'au mariage. Cela leur permet de faire plus ample connaissance s'ils ne se sont jamais rencontrés auparavant. Le jour du mariage, l'union se déroule normalement dans un lieu sensé pouvoir accueillir suffisamment de monde. Ainsi, les deux familles peuvent y assister ainsi qu'un grand nombre d'invités. Les deux époux se présentent enfin au peuple du marié avant d'aller consommer leur union, en présence d'un prêtre qui le confirmera aux familles.
La mort est aussi un acte particulièrement sacré dans n’importe quelle nation. Il faut savoir que les enterrements sont pris très au sérieux par tous les habitants de Kandrakar. D'après la religion de toutes les nations, les esprits des défunts restent en effet bloqués dans les limbes s'ils n'ont pas le droit à des funérailles traditionnelles. Un mythe inscrit dans les moeurs depuis des siècles. Il s’agit de rendre hommage une dernière fois au défunt, et là encore chaque peuple le fait plus ou moins différemment : - La mort à Elioras:
La cérémonie est assez semblable à la nation du feu. Le corps est en effet exposé durant quelques heures avant d'être brûlé dans un temple prévu à cet effet. Un prêtre se charge ensuite de récupérer les cendres et les confie à la famille. Cette dernière est libre de les conserver même si la tradition veut qu'elle les disperse au gré du vent.
- La mort à Antrakar:
Un enterrement est un acte solennel qui se déroule généralement en silence. Seuls les plaintes et les chants des femmes accompagnent le prêtre durant la cérémonie. Le corps du défunt est enseveli sous terre et un membre de sa famille plante ensuite un arbre à proximité de la tombe, symbole de la renaissance du défunt. C'est aussi une façon pour la famille de faire son deuil.
- La mort à Lumisol:
Un enterrement digne de son nom aura lieu lors de la pleine lune. Une tradition assez similaire aux mariages de la nation de l'eau. Le corps est généralement conservé dans de la glace si la pleine lune ne coïncide pas avec la mort. Dès les premières minutes de la pleine lune, le corps est donc disposé dans une barque ornée par la famille du défunt. On y dispose généralement des objets personnels, des lettres ou même des armes. Après un éloge funèbre prononcé par un prêtre ou par un membre de la famille, la barque est mise à l'eau et les proches regardent ainsi la barque s'éloigner au loin. Selon la religion de Lumisol, le corps revient à l'eau, son élément.
- La mort à Morbalat:
Le choix de la couleur des vêtements est là aussi important. Si le rouge est obligatoire pour les mariages, c'est bien là le noir qui prédomine. Symbole d'un couché de soleil mais aussi d'un feu éteint. La famille doit donc se parer de noir durant trois jours durant lesquels le corps sera exposé. Cela laisse donc le temps à tous ses proches de venir lui faire ses adieux. Une fois le délai écoulé, le corps est brûlé dès les premiers instants de la nuit. Il retourne donc à son élément, le feu.
- La mort chez les familles régentes:
Comme pour chaque événement important au sein des familles régentes, un enterrement est une cérémonie qui n'est pas prise à la légère. Toute la famille, sans exception, doit porter le deuil au moins pendant une semaine. Cela se manifeste généralement par un style vestimentaire sombre ou par des choix personnels. Toutes les familles régentes se doivent d'annoncer une mort dès que celle-ci a lieu. Le peuple est donc généralement prévenu par des messagers même si beaucoup arrivent à le deviner au son des cloches ou bien encore à la vue des drapeaux en berne. Un deuil national est décrété le jour-même de la mort. Tout le monde doit donc cesser ses activités et honorer le défunt. Selon les nations et leurs traditions, l'enterrement n'a jamais lieu à la même période. C'est ce qui les différencie tant les unes des autres. La tradition veut que les autres familles régentes présentent leurs condoléances personnellement à la famille touchée par le deuil.
Une légende est particulièrement oubliée malgré son importance autrefois, et n’est aujourd’hui qu’un conte sensé aider les enfants à s’endormir. La légende du cœur de Kandrakar est cependant encore défendue par certains individus persuadés de sa véracité. - En savoir plus:
Légende d'autrefois, on raconte que le royaume serait gouverné par un coeur bien plus puissant que toutes les nations réunies. Contée aux enfants pour les endormir paisiblement, le coeur de Kandrakar serait un objet en or, ressemblant étrangement à une boussole, qui permettrait de maintenir la balance entre les différents éléments contrôlant le royaume. Cette légende n'a jamais été vérifiée, d'où son nom de légende, mais un groupe de fervents défenseurs de l'équilibre sont persuadés de sa véracité. Depuis des siècles, ils se transmettent le savoir de ce coeur pour qu'ils puissent en faire bonne usage lorsque le temps sera venu. Cette boussole est composée de quatre aiguilles, les trois premières pointent vers trois images différentes du cadran pour former une question, la quatrième poursuit son chemin sur une ou plusieurs images afin de donner un semblant de réponse. Il y a en tout trente-six images et chacune a un sens particulier que seuls les gardiens du coeur de Kandrakar sont capables de déchiffrer. En effet, la légende stipule que quatre gardiens devront s'élever lorsque l'équilibre sera menacé. Nulle n'a jamais prêté attention à cet avertissement et pense que l'équilibre entre les éléments ne peut être changé ni bouleversé, seuls les fanatiques du coeur sont à la recherche de ces gardiens car ils pensent que la balance a été rompue il y a des années déjà.
Voici les différents symboles du coeur de Kandrakar et leur signification. Le Sablier représente le temps, la mort et le changement. Le Soleil représente le jour, l'autorité et la vérité. L'Alpha et l'Omega sont synonymes de langage, de processus, les mots, la finalité et l'inévitable. La Marionette représente l'obéissance, la soumission et la grâce. Le Serpent est le Mal, la ruse et la sagesse naturelle. Le Chaudron est synonyme d'alchimie, d'artisanat et de sagesse acquise. L'Ancre représente l'espoir, la fermeté et la prévention. L'Ange est le messager, il représente également la hiérarchie et la désobéissance. Le Casque signifie la guerre, la protection et la vision étroite. L’Essaim représente la productivité, la douceur et la lumière. La Lune est synonyme de chasteté, de mystère et d'étrangeté. La Femme représente la maternité, le féminin et le culte. La Pomme représente le pêché, la connaissance et la vanité. L'Oiseau est représentatif de l'âme - comme le daemon, du Printemps et du mariage. Le Pain signifie la nourriture, le messie et le sacrifice. La Fourmi représente le travail machinal, l'assiduité et l'ennui. Le Boeuf représente la terre, le pouvoir et l’honnêteté. La Bougie représente le sens, la compréhension et l'apprentissage. La Corne d'Abondance représente la santé, l'automne et l'hospitalité. Le Caméléon représente l'air, l'avidité et la patience. L'Eclair est synonyme d'inspiration, de destin et de colère. Le Dauphin représente l'eau, la résurrection et l'espièglerie. Le Jardin Clos représente la nature, l'innocence et l'ordre. Le Globe représente la politique, la souveraineté et la popularité. L'Epée représente la justice, le courage et la foi. Le Griffon représente le trésor, la vigilance et le courage. Le Cheval représente le voyage, l'aventure et la fidélité. Le Chameau représente la tradition, l'été et la persévérance. L'Elephant représente la chaleur, la charité et l'abstinence. Le Crocodile est synonyme de différence, de rapacité et d'initiative. Le Bébé est synonyme de futur, de malléabilité et d'impuissance. La Boussole représente la mesure, les mathématiques et la science. Le Luth représente la poésie, la rhétorique et la philosophie. L'Arbre représente la fermeté, le refuge et la fertilité. L'Homme Sauvage représente le sauvage, le masculin et la luxure. Et enfin la Chouette, est synonyme de nuit, d'hiver et de peur.
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| | | ▹ Sur Aléria depuis : 08/11/2015 ▹ Messages : 162 ▹ Pseudo : TFN (lise, coralie, hélène, khaoula) ▹ Disponibilité : Always ▹ Crédits : @bigbadwold
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| Re: ⊰ LA VIE QUOTIDIENNE (résumé des annexes) Ven 27 Nov - 23:05 |
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Sciences et techniques Entre monde moderne et traditions Vous avez dû remarquer que le contexte prend place dans une ambiance particulière. Toutes les technologies auxquelles nous avons accès aujourd'hui ne sont pas disponibles sur Kandrakar. Il est temps de faire un peu le point sur la place des sciences et des technologies à Kandrakar. - l'ambiance générale : il est impossible de situer le contexte dans une époque de notre monde que nous connaissons. En fait, il s'agit d'une époque semi-moderne. Quelques éléments de décors pour vous situer : ici, une partie d'Aleria, une autre ruie d'Aleria, le gouvernement, Elioras... - se déplacer à Kandrakar : ( la carte de Kandrakar est disponible ici) pour se déplacer d'un bout à l'autre du pays, il n'y a guère que le train qui est efficace. Les voiture n'existent pas, tandis qu'un réseau de chemins de fer commence à se créer à Kandrakar. Il relie les grandes capitales entre elles, ainsi que les petites villes plus locales. Il y a aussi le transport fluvial, via des péniches, paquebots (attention, pas trop gros non plus) et autres petites embarcations. Seuls les avions de combats existent, les avions pour le transport des personnes et les aéroports ne sont pas présent dans l'univers du forum. Sinon, si vous êtes des fugitifs qui ne veulent pas attirer l'attention, il y a toujours vos pieds. - l'électricité : plus on s'approche des grandes villes (Aleria, Hariyuva et Ardelis), plus l'énergie est utilisée pour autre chose que la lumière. Mais ce sont surtout le Gouvernement et les personnes de bonne naissances (aisées) qui profitent au mieux de l'énergie. Malgré tout, il reste des territoires plus sauvages, où les lampes à huiles et autres bougies sont les seules sources d'énergies utilisables. Les rebelles sont les principaux usagers de ces techniques rudimentaires et voient en l'électricité une toute autre utilisation : détruire les barrages et les moteurs, c'est couper le Gouvernement de sa technologie personnelle, et l'empêcher de travailler et de promulguer ses idées. - communiquer à Kandrakar : exit les smartphone ! Votre personnage est plongé dans un monde où les nouvelles technologies de communications n'existent pas. Pas non plus d'ordinateur à disposition, il va avoir pour outil une feuille et un crayon. Et oui, la bonne vieille lettre, y'a que ça de vrai ! Dans les villes, le téléphone via fils électriques commence à se répandre, mais uniquement pour les plus riches. Le réseau postal a mis aussi en place un système de télégraphes, très rapide mais qui peut être assez contraignant : chaque billet est limité en caractère (un peu comme un tweet). La communication enter-nations n'est pas vraiment au point, effectivement chaque nation a préféré rester sur un système interne, envoyant des lettres aux autres régions et à la capitale seulement quand cela était nécessaire. De plus, la guerre a quelque peu modifié cette communication sommaire, en offrant un moyen bien plus simple et rapide : les oiseaux de feu. Créatures propre à la nation du feu, leur force et leur endurance faisaient d'eux de parfaits transporteurs. Ne craignant ni le froid, ni la pluie, leur plumage agissant comme une armure contre les intempéries, ils ont du être libéré de leur cage durant la Guerre, sous peine d'être massacrés comme beaucoup d'animaux emblématiques. En fuite, les oiseaux se sont perdus et ont prit des routes différentes tout en continuant de se reproduire. Actuellement, que l'on se trouve au Nord ou au Sud, à l'Est ou à l'Ouest, les oiseaux de feu sont partout, et en grand nombre. Ils sont à présent le premier système de communication à Kandrakar, porteurs de lettres ou de manuscrits secrets, leur vitesse de vol pouvant atteindre les 110km/heure et leur intelligence dépassant celle de simples oiseaux piailleurs. Mais surtout les oiseaux de feu s'enflamment s'ils sont capturés en chemin, brûlant le message et le rendant impossible à lire. Revenant à la vie tels des phoenix, c'est de cet étrange façon de se protéger que leur vient leur nom. Il existe aussi quelques radios, utilisées essentiellement par le gouvernement. Comme il n'existe pas de satellite, les deux utilisateurs doivent être prochent l'un de l'autre, une cinquantaine de kilomètres tout au plus. - l'industrie : elle est assez primaire à Kandrakar, et on est loin du système que nous connaissons de nos jours. On reste dans l'exploitations des matières premières : charbon, bois, filons de fer, or ou argent... Quelques petits malins ont commencé à comprendre qu'ils peuvent grossir leurs bourses, notamment en exploitant les gisements de fer, or, argent ou cuivre. Ceux qui travaillent dans ces exploitations (mines, scieries...) sont le plus souvent issus des classes populaires. - la médecine : à Kandrakar, cette science est en plein développement. Les évolutions se font de jours en jours, à l'image de la révolution médicale de la fin du XIXe. Des vaccins contre les grandes maladies commencent à être trouvés, de nouveaux médicaments sont mis en place, et une meilleure connaissance du corps humain permet à la chirurgie de s'améliorer. La grande guerre, meurtrière, a permis des améliorations de cette science : en effet, les blessés, voire les cadavres, ne manquaient pas pour s'exercer... Néanmoins, c'est une médecine pour les riches. Dans les campagnes, on reste dans une médecine traditionnelle, qui s'appuie sur le savoir ancestral des plantes.
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| Re: ⊰ LA VIE QUOTIDIENNE (résumé des annexes) Ven 27 Nov - 23:13 |
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Economie Travailler, commercer, payer à Kandrakar Le milieu du travail est très vaste à Kandrakar : il peut aller des fonctions gouvernementales jusqu’au petit cultivateur, en passant par tout un ensemble de professions telles que militaire, artisan, ingénieur, enseignant, teneur d’auberge… Les villes concentrent les activités beaucoup plus rémunérés, et considérées comme supérieures : toutes les fonctions d’Etat, les fonctions de recherche scientifique poussée, le commandement militaire, les très riches commerçants… Les fonctions qui dominent les campagnes sont plus de l’ordre du primaire, c’est-à-dire tout ce qui touche à l’agriculture, et du secondaire, c’est-à-dire les industries, dans les bourgades un peu plus importantes. Le commerce est un élément important de liaison. Les commerçants les plus influents sont ceux qui n’hésitent pas à aller chercher la denrée rare se trouvant dans le plus perdu des coins du royaume pour la vendre à Aleria. Ils sont importants car bien souvent, ce sont les seuls éléments de contact régulier entre un petit hameau et le reste de la civilisation. La monnaie est un point essentiel sur lequel les régents ont beaucoup œuvré. Là aussi dans une volonté d’unifications des quatre nations, ils ont imposé un système monétaire unique dans tout le royaume. Il existe trois monnaies : l’ire, faite de bronze et la moins précieuse, la nalam, d’argent et équivalent à 100 ires, et le péros, d’or et équivalent à 100 nalams.
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| Re: ⊰ LA VIE QUOTIDIENNE (résumé des annexes) |
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